Fondateur de AIDES en 1984, il présida l’association pendant sept ans. Il laisse derrière lui le souvenir indélébile d’une vie militante et des principes d’action que les 2 200 militants-es que nous sommes perpétuons au quotidien dans notre lutte.
Cliquer pour continuer la lectureArticle-s : Daniel Defert
Arrêter l’hécatombe des toxicomanes
Tribunes / Libération Daniel Defert C’est, aujourd’hui que le professeur Roger Henrion présente à Simone Veil, ministre des Affaires sociales, le rapport de la commission de réflexion sur la lutte contre la drogue et la toxicomanie. Après l’avis, très novateur, du Comité d’éthique qui avait estimé «que la classification drogues dures-drogues douces n’était pas pertinente», le […]
Cliquer pour continuer la lectureLe collectif « Limiter la casse » : Présentation et histoire en annexe de Peut-on civiliser les drogues ?
EN COMPLÉMENT : Texte d’Anne Coppel dans Asud Journal, publié en décembre 2020 Histoire et présentation en annexe du livre : Peut-on civiliser les drogues ? (2002) La première réunion de Limiter la casse s’est tenue le 25 mars 1993 à Paris. Neuf associations avaient été invitées, mais ce collectif était d’abord un collectif […]
Cliquer pour continuer la lectureUn nouveau réformateur social : le malade
Quatre éléments structurant la relation médecin/malade ont été bouleversés : la position de la mort, la révélation de l’intimité de la vie ont intensifié la relation émotionnelle, tandis que le partage du savoir médical, l’insertion du médecin dans un réseau de confrères à cause de la variation des manifestations et des thérapeutiques ont relativisé la relation technique. La relation clinique doit sans cesse se soutenir par une relation de parole et d’écoute. Le médecin doit connaître les représentations que le patient se fait de sa maladie pour savoir le degré d’acceptation et de fidélisation à la stratégie thérapeutique proposée.
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